[Reco médias] « La gazette de Nicole » numéro spécial 200 portraits, gratuit, est en ligne

Je laisse la célèbre Nicole Estérolle qui milite contre le foutoir de l’art conceptuel (via une infolettre lue par une bonne dizaine de milliers d’abonnés) présenter ce numéro de sa gazette (qui comprend bien des œuvres sacrément intéressantes…) :

LA GAZETTE DE NICOLE N° 81 EST EN LIGNE : « LA PORTRAITURE DÉCHAINÉE »

C’est le titre que nous avons donné au numéro spécial de la Gazette de Nicole, avec plus de 200 portraits de la même liberté (en fin de ce texte).
Ce numéro est somptueux, gratuit, généreux, chaleureux, roboratif, tropical, euphorisant, expectorant, éco-responsable et durable, régressiste populaire, idéologiquement neutre, sensuel et anti-conceptuel, terriblement humain, consommable et partageable sans modération.

Le visage, avec un nez, une bouche des yeux (accessoirement des oreilles, et des cheveux) a été depuis la nuit des temps le premier sujet de représentation de l’homme, dès qu’il a su dessiner.
Rien de plus figuratif, bien évidemment, que l’art de la figure humaine ou portrait.
Rien de plus propice à l’invention picturale.
Pas de meilleur terrain pour l’aventure et la libre expression !
Pas de meilleur acte de résistance contre l’actuel totalitarisme conceptualo-bidulaire contemporain, ennemi de la liberté artistique.
Pour ce numéro spécial de la Gazette nous vous avons choisi une bonne deux-centaine de portraits qui figurent ou figureront dans le nicolemuseum.fr

Deux cents portraits d’une liberté et d’une inventivité époustouflantes, et qui, pour cela, permettent d’espérer encore de l’humanité, malgré les bureaucraties culturelles de tous les pays et de tous temps… et malgré la banane de Cattelan…

Nous souhaiterions que ces images de haute intensité visuelle soient portées au regard des élèves de nos actuelles écoles publiques des Beaux-Arts, de leurs profs, des directeurs de FRAC, des addicts de Buren, des plasticiens conceptualo-bidulaires, etc… et de toute la volaille culturelle institutionnelle, qui ne veut pas savoir bien évidemment que cette création existe, pour préserver cette inculture qui la qualifie dans le système qui les emploie et les a décérébrés.

Cliquez sur l’image pour afficher
le diaporama en grand format: